Le professeur de droit constitutionnel sincère a estimé que la décision de dissoudre le Parlement avait le pouvoir de l’accorder exclusivement au Président de la République, qui a le droit de prendre cette initiative maintenant, surtout après les violences et le chaos dont le Parlement a été témoin hier et avant-hier.
Belaid a déclaré que le Président de la République peut consulter quiconque estime que son avis est nécessaire, mais que la décision le concerne uniquement, indiquant la nécessité de contourner l'exigence d'informer la Cour constitutionnelle car elle n'existe pas actuellement.
Belaid a déclaré que si le président de la République considère que la situation aujourd'hui a atteint le sommet de la crise, il peut, constitutionnellement, procéder à l'approbation de la dissolution du Parlement.
Le professeur de droit constitutionnel sincère a souligné que la décision de dissoudre le Parlement aujourd'hui est devenue nécessaire dans l'intérêt du pays, appelant le président de la République à aller avec cette option.
Belaid a déclaré que si le président de la République approuve cette étape nécessaire selon sa description, la structure politique et sociale du pays ne sera pas en mesure de qualifier le peuple pour assumer sa responsabilité électorale avec une conscience politique élevée, mais il réélira le système actuel lui-même, soulignant que la crise est présente dans le peuple et le corps politique en général. Il est également présent dans l'une des institutions constitutionnelles de l'Etat tunisien, qui est l'Assemblée des représentants du peuple.
Il a indiqué qu'il ne suffit pas maintenant de modifier la composition du parlement, mais plutôt que l'organisation de la gouvernance politique dans le pays doit être reconsidérée. Source: